La playlist de Karine – clarinettiste

Karine nous présente son choix musical, elle a rejoint la Philhar depuis quelques années, et je pense cette année (enfin… 2019 2020, quoi…) elle remporte de loin la palme des kilomètres parcourus pour participer aux répétitions les vendredis. Une belle sélection où l’on retrouve sa montagne d’adoption et bien d’autres choses ! 🏔 🎶

Favoris ⭐️ : Que c’est difficile de choisir !… De nombreuses musiques m’ont marquée, fait vibrer, sont associées dans mon esprit à des souvenirs forts et indélébiles.

Mais puisqu’il faut n’en choisir qu’un, je dirais Mont Blanc d’Otto M. Schwarz. Je trouve que ce morceau est d’une puissance incroyable. Il offre un voyage musical dans ma région d’adoption et j’aime l’écouter quand je suis en balade : la grandeur de la musique rencontre alors la grandeur des montagnes et là je peux vous dire qu’on accède à quelque chose de Grand ! 🏔 🎶 (Bien qu’aucune écoute ne remplacera jamais les retrouvailles, les répétitions et les concerts partagés avec mes précieux amis de la Philhar ! 🥰).
 
– Migraine 🤯: Alors là je dirais : La Danse Diabolique. Trop vite, trop rythmique, trop de détachés, trop de dièses…. Au secours !!!!!! 😅
 
– Espoir 🤞🏻: Il y a un projet que j’aimerais voir aboutir un jour à la Philhar : c’est celui du concert comique (© Philhar). Il n’est à l’heure d’aujourd’hui qu’à l’état « d’idée », tout est à construire et le challenge est grand car rien n’est plus difficile que l’humour mais j’aimerais qu’un jour on essaye d’y réfléchir plus. Tout est à inventer mais Hafabra Folies nous offre un joli début de réflexion.
 

– Découverte(s) 💙: L’oeuvre d’Étienne Perruchon : Dogora : ouvrons les yeux. J’ai découvert ce film quand j’étais au lycée et il m’a littéralement bouleversée. J’ai pleuré toute la séance tellement j’étais émue. Plus que les images, je crois que c’est la musique qui m’a tant touchée. J’ai eu la chance de jouer cette œuvre plusieurs fois avec diverses harmonies depuis et c’est à chaque fois le même plaisir renouvelé. J’ai eu aussi la chance et l’honneur de rencontrer le compositeur lors d’un projet avec Opus 92. J’aurais pu mettre cette œuvre aussi dans espoir car j’adorerais la rejouer avec la Philhar.

Coco des Lucky Chops parce qu’aucun morceau ne me donne autant d’énergie que celui-ci et qu’on en a bien besoin en ces temps moroses de confinement.